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 Einchelimeide Pel'ycre

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Niraemiataal
Peon
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Date d'inscription : 16/04/2007

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MessageSujet: Einchelimeide Pel'ycre   Einchelimeide Pel'ycre Icon_minitimeLun 14 Mai - 17:05

Il y a longtemps, alors qu'Esuna n'était qu'une petite peste haute comme trois pomme, vivait sous la matriarchie de sa mère, une famille d'elfe noir extrêmement pauvre.

La mère était une ancienne daguiste blessée au combat, amputer de son bras porteur et borgne d'un oeil, le géniteur lui était mort il y a longtemps dans des circonstances violentes. Par chance la mère avait su assurer la longévité du nom de sa famille en accouchant de 2 jumelles.
L'une des deux filles était maigre et avait les cheveux noir corbeaux, mais surtout était toujours et continuellement malade, L'autre fille possédait des cheveux d'un blanc étincelant et était certes chétive mais aussi forte en esprit et en caractère.
Cette dernière se nommait Einchelimeide, elle aidait sa mère a la tache et soignait sa soeur a longueur de journée.
Mais un jour, elle entrevu sa mère, pleurant de toute son âme, aussitôt sa mère se jeta sur elle, l'implorant le pardon, disant qu'elle n'avait pas pue faire autrement. Einchelimeide ne compris que quand 3 Gardes était venu la chercher, regardant sa mère, et sa soeur, elle ne savait pas ce qui allait lui arriver, mais elle savait que sa mère n'avait pas eu le choix.
Alors qu'Einchelimeide s'éloignait avec les gardes, elle regardait sa mère, s'effondrer en larme au pas de leur taudis.

après quelques heures de marche forcée, elle rentra encercler par les garde dans la capitale, les badauds qui passait la regardèrent, Einchelimeide eu cru entendre « pauvre petite, si jeune.. »
On la fit entrée dans les arrières salle de la demeure matriarcale, une femme la pris la soulevat et l'examina

« Elle est jeune quand même celle la...
-C'est sa mère... enfin, pas devant elle.
-Petite sait tu pourquoi tu es la ?

Einchelimeide hochât un non de la tête
-Tu est la nouvelle souffre douleur de la fille de la matriarche, remarque tu doit être un soupçon plus âgée qu'elle ...
Einchelimeide ne disait rien
-Bien déshabille toi, on va te laver ... oui on va te laver *reniflant une odeur de crottin * et tu enfilera ça après * pointant un habit de sa taille * on t'emmènera voir notre grande matriarche après. »

Devant la matriarche elle se mis a genoux, courbant la tête en signe de grand respect, comme sa mère lui appris. On lui ordonnat de se lever,
La matriarche lui demanda:
« Comment t'appelle tu, petite?
-Einchelimeide... *d'une voie presque inaudible *
-Je n'ai pas bien entendu, répète ?
-Einchelimeide... *d'une voie presque audible *
-Einchelimeide tu dit, et bien ... tu es depuis aujourd'hui jusqu'à rédemption, la souffre douleur de ma fille. Emener la dans ses quartiers! »


Einchelimeide se fit presque tracter par les garde car elle ne voulait pas se lever et restait courber devant la matriarche.

Dans sa chambre, il y avait un lit de paille, des gobelets et autre gamelles, et un vieux jeu d'osselet...

Einchelimeide allait sur ses 7 ans...
Le lendemain, cloîtré dans sa chambre, elle entendit des rires d'enfants de derrière la porte, par un entre jour elle aperçu une fille d'une robe élégante, des cheveux resplendissants, au moment ou elle la vu, elle savait que c'était elle Esuna, un sang royal coulait en elle.

Quelques heures plus tard, un garde ouvrit la porte avec fracas, la regardant, il dit : « tu est vraiment très jeune, petite... », il l'a pris par le col, et l'embarqua dans la salle du trône sans ménagement aucun, la une elfe noire armer d'un bâton la regardait, il y avait aussi la matriarche, Einchelimeide a son regard s'agenouilla par respect. Il y avait aussi cette autre fille, a l'allure boudeuse et triste, comme si elle s'était fait piquer en pleine bêtise, et ... c'était le cas

La matriarche scanda : « 40 coups ou jusqu'aux pleures », la coutume était ainsi, l'on ne pouvait punir un sang presque divin, il fallait quelqu'un d'autre pour prendre les coups, jusqu'au nombre indiqué,ou jusqu'aux vraie pleur de douleur.

Einchelimeide se releva seule, le regard vide, elle comprenait maintenant, pourquoi sa mère l'implorait. Elle se mise nue, elle était frigorifiée, et le premier coup de bâton retentit dans toute la demeure, ça faisait mal, ça brûlait, mais a peine soufrait-elle qu'un deuxième coup l'agenouilla juste par l'intensité. Elle se releva, et pris un troisième coup, les dents se seraient, les gens regardait en priant pour qu'elle pleure avant les 40 coups. Esuna regardait son soufre douleur jouer son rôle, sérant les poings, elle aussi semblait avoir mal.
Cela faisait 10 coups, la chevelure blanche éclatante de Einchelimeide rougissait par endroit, le sang se mettait a couler, mais pas une larme.
On en était a 20 coups, et toujours pas un mots, pas un bruit de la part de Einchelimeide, nue comme un vers, frappé jusqu'au sang, des coup d'une intensité rare.
30 coups, et un genoux tombas au sol, la douleur ne laissait pas de place a ses jambe pour tenir, mais la, dans une lueur d'esprit, ou de folie, Einchelimeide se releva, la tête haute, le regard fière, et pas de larmes, elle écarta les bras et scanda : « même ma malade de soeur ma frapper plus fort! »
ce fut alors les 10 coups les plus violent qui ne soient jamais donnés, dans les côtes, les jambe, le dos, les mollets, chaque partit de son corps d'enfant en reçu. Des éclats de sang brillait tout autour d'elle, son bourreau lui même en était taché, les 40 coups étaient tombés, elle n'avait pas pleuré, elle avait brillé.
Au 40ème coup, elle tombât a genoux, comme lessivée, son corps brûlait et suintait de sueur et de sang. Les bras ballants, le regard vide, elle s'évanouit sur le sol.

Quand elle se réveilla, elle était dans sa chambre, pensé de part et d'autre de son corps, une douleur abominable la lançait sur chaque partie de son corps. Un garde ouvrit la porte, se posa a coté d'elle, lui caressa les cheveux, et lui remis une lettre, Einchelimeide ne savait pas lire mais elle n'avait pas eu le temps de lui dire.
Plus tard, le père d'Esuna, passa aussi, il la regarda tenant cette lettre, et lui demanda:
« pourquoi ne l'ouvre tu pas ?
-je ... je ne sait pas lire...
-embêtant ...»

personne ne su pourquoi, mais le lendemain même, une Elfe noire rentra dans sa chambre, un tas de bouquin a la main, elle se présenta, elle était l'archiviste de la maison , elle lui dit qu'elle allait lui apprendre a lire.
L'archiviste commença sa première leçon par la lecture d'une liste de règles, cela parlait de ce qu'un
souffre douleur avait le droit de faire et de ne pas faire, elle appris qu'elle avait le droit de sortir de sa chambre pour allez dans les jardins et la bibliothèque, L'archiviste a la fin de la leçon lui laissa un livre, racontant l'histoire d'un homme et de son bouclier, et lui dit qu'elle pourrai le lire quand elle aura suivit encore quelques leçon, mais que les illustrations était très expressives.


Au fils des jours, au fil des tannées, elle prenait de plus en plus de coups de bâton , et de plus en plus fort, mais pas une seule larme ne coulait, a croire qu'outre ne pas savoir lire, elle ne savait pas non plus pleurer. Mais a chaque fois, l'intégralité des coups était donnée, et la fille de la matriarche pleurait a sa place, comme si elle ressentait la douleur.

Alors d'un jour, le lendemain d'une bastonnade, Einchelimeide était dehors, son livre qu'elle avait passé repassé dans tout les sens a coté d'elle, une ombre surgis derrière elle, un parfum léger planait, elle se recroquevilla et l'ombre se posa a cotée d'elle, c'était Esuna, qui lui demanda pourquoi elle ne voulait pas pleurer.
Regardant la robe d'Esuna, elle dit en pointant du doigt:
« t'as une tache la...
-Hein ? Regardant le lieu de la tache »

Einchelimeide mis une pichenette sur le nez d'Esuna ce qui ne manqua pas de l'énerver d'être tombé dans un piège si facile, elle se jeta sur Einchelimeide, qui ne pouvait se défendre, s'assise sur elle et la chatouilla, cela faisait mal a vrai dire, elle était encore souffrante de la dernière bastonnade, mais elle ne pouvait s'empêcher de rire.
L'archiviste qui passait par la ne pue s'empêcher de sourire, et se mis a écrire dans un de ses bouquins en continuant son chemin.

Esuna par cette rencontre devint bien plus sage, et il n'y eu plus de bastonnade pendant très longtemps. Pire même, elle resta même très proche d'Einchelimeide, comme une seconde soeur.
Einchelimeide appris a lire, a compté, a écrire, l'archiviste voyait en elle sûrement la fille qu'elle n'avait jamais eu. Einchelimeide atteint les 15 ans, Esuna les 14 ans, l'âge des amourettes de passages, ce qui ne manqua pas d'attirer les foudres de la matriarche,

un matin, un garde ouvrit la porte de la chambre de Einchelimeide, la pris avec elle et l'emmena a la salle du trône, l'on entendait la matriarche et sa fille se hurler l'une sur l'autre, Esuna avait été surprise en train de dormir avec un mâle. Einchelimeide arriva au millieu de la salle, le bourreau n'était pas encore la, Et la matriarche scanda:
« 500 coups!! jusqu'aux pleures!!
Esuna s'interposa
-Non pas elle!!
-1000 coups, et c'est toi qui va les lui donner!Garde!!

un garde dégaina son épée, la pointa sous le menton de Einchelimeide.
-Non ...
Esuna regardait son amie ne sachant que dire
-Donne moi ces 1000 coups, avec la force qu'il faudra.
Einchelimeide se mise nue, laissant apparaître un corps de fille devenue femme, elle écarta les bras, et se mise droite
Un garde remis un bâton dans les mains de Esuna, elle le sera aussi fort qu'elle le pouvait, hésitat longtemps, et lança un coup, sur son amie.
« Plus fort! » cria la matriarche.
Le deuxième coup doubla d'intensité.
« Plus fort j'ai dit! »
Le 3ème coup ébranla le bâton, et brouilla la vision d'Esuna par les larmes.
10 coups, 20 coups, 30 coups tombèrent et le bâton céda, les dalles était clairsemée de sang et de larmes, Einchelimeide ne pleurait pas.
Au centième coup, les mains de son bourreau étaient aussi douloureuse. Les pleurent s'entendait dans tout le royaumes, tout le monde était la, et regardait Einchelimeide encaisser les coups sans bronché, L'archiviste pleurait aussi, maintes personnes c'était attachés a elle, ne pouvait supporter ce spectacle.
200 coups, du sang, des cheveux rouges des lèvres regorgeant de sang. Un bourreau qui n'en pouvait plus de larme et de fatigue.
300 coups, la vision se troublait, les pleurent faisaient place a la rage.
400 coups, la peau a vif, comme brûlée de toutes part, les mains pleine d'ampoules, et 25 bâtons de cassés
500 coups,les nerfs a vifs, presque immunisé a la douleurs.
800 coups et un genou a terre, Eicnhelimeide se releva avec beaucoup de difficultés
900 coups et un silence de mort
990 coups et un sentiments de déjà vue
999 coups et Einchelimeide se sent emporté par l'inconscience, et une phrase « je t'aime »
1000 coups , un bâton qui résonne à terre, Einchelimeide qui tombe inconsciente, Esuna qui la rattrape, les mains pleines de sang lui disant cette phrase : « moi aussi ».
1000 coups et pas un pleur.
L'archiviste avait déjà préparé les soins, comme une mère. On traîna Einchelimeide alors a l'article de la mort, a l'infirmerie.

3 semaine plus tard, Elle se réveilla dans un lit propre, dans une autre chambre, une bibliothèque remplie, des fleurs qui sentaient tellement fort qu'elle ne se demandait pas de qui elles étaient, et une Esuna qui ronflait sur la chaise a coté. Elle laissa Esuna dormir, regarda a son chevet et pris son bouquin, une lettre tombait, cette lettre qu'elle n'avait jamais lue, elle l'ouvrit, et se mise à la lire.

« Ma fille pardonne moi, je n'ai pas su te protéger, j'ai manquer a mon devoir de mère, je t'en prie pardonne moi.
Ta mère qui t'aimera toujours »


pour une fois dans sa vie, Einchelimeide versa une larme.

Un bruit a la porte surpris Esuna qui se réveilla, la matriarche entra, se posa sur une autre chaise, Einchelimeide eu le regard bas, ne pouvant se mettre a genou.
« Nul besoin de cela, regarde moi en face.
-Oui madame * la regardant en face*
-Tu a prouvé a mainte reprise que ton esprit et ton caractère son fort. Ma fille,
* regardant Esuna* ma fille ma demandé a ce que tu soit retiré de ta fonction, a vrai dire je ne pense pas qu'elle est encore besoin de souffre douleur aujourd'hui..
-Mais...
-Pas de mais, laissez moi finir! Je doit la vie au sacrifice de votre mère demoiselle Einchelimeide.
Je vous anoblie, vous et votre famille, comme cela aurait dut être fait depuis longtemps. Et de ce fait vous devrez vous joindre aux entrainements, aux cours, aux cérémonie de la matriarchie. Juste dites moi ... que voulez vous devenir?

Einchelimeide ne savait pas quoi dire, sa comparse non plus, certes la matriarche était rustre, mais aussi elle avait du coeur. Einchelimeide pris son livre et le tendit a la matriarche,
-Je veux être comme lui.
-Qu'est-ce donc ? « Le bouclier du maître »... je voie que notre archiviste est passée par la ...
Soit, vous serez Templier... « templière » ? ça ce dit ?
-Aucune idée...


Aujourd'hui la famille de Einchelimeide est anoblie, et le nom de Einchelimeide Pel'ycre est souvent remplacé par celui de « Millecoup la crainte », mais peut de gens savent vraiment pourquoi.

L'archiviste.
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Einchelimeide Pel'ycre
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